Lafièvre jaune est endémique au Sénégal. De nombreux pays exigent une preuve de vaccination contre la fièvre jaune ou une dispense médicale valide pour tout voyageur ayant visité ou transité par des pays endémiques. Vérifiez les exigences en matière de vaccination contre la fièvre jaune pour le ou les prochains pays figurant sur votre itinéraire. Une seule
1 Se faire vacciner contre la fièvre jaune. Bien qu’aucune vaccination ne soit obligatoire, il est recommandé de faire le vaccin de la fièvre jaune pour le Sénégal. La fièvre jaune est une maladie hémorragique virale aigue transmise par des moustiques infectés, autant d’en protéger . Ce vaccin est à faire au moins 10 jours
Fièvrerécurrente. La fièvre récurrente est une affection distincte caractérisée par des épisodes répétés de fièvre et de symptômes non spécifiques pouvant inclure céphalées, myalgie, arthralgie, frissons intenses et maux de ventre1, 2.Elle résulte d’une infection par les spirochètes d’une espèce de genre Borrelia, transmis par les poux ou les
Fièvrejaune, Covid ou rougeole L’Institut Pasteur de Dakar bâtit un nouveau complexe industriel. L’Institut Pasteur de Dakar bâtit un nouveau complexe industriel. Aller au contenu
Lafièvre jaune est une maladie virale qui fut décrite pour la première fois au milieu du XII ème siècle au Mexique. Elle est due à un arbovirus (virus transmis par un arthropode vecteur), le virus amaril, qui a été isolé en 1927 simultanément au Ghana et au Sénégal, à l’Institut Pasteur de Dakar.
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LeSénégal est considéré comme un pays hautement prioritaire selon la stratégie d’élimination de l’épidémie de fièvre jaune (EYE). Le vaccin antiamaril a été introduit dans la vaccination systématique en janvier 2005. La vaccination est le principal moyen de prévenir et de combattre la fièvre jaune. Dans les centres urbains, des mesures
VACCINS En principe, le vaccin contre la fièvre jaune est obligatoire, mais ont ne vous le demandera pas au débarquement. Il est cependant conseillé de le faire sur place. En France ce vaccin est très cher (40 à 50 €) , n'est pas remboursé par la secu et vous oblige parfois à faire des dizaines de km pour le faire. Au Sénégal, vous
Unecampagne de vaccination préventive nationale en Guinée avait été programmée pour mi-2009, mais elle avait été repoussée à autour d’avril 2010, en partie à cause d’un manque de vaccins, a dit M. Keïta, du ministère de la Santé. Les réserves mondiales de vaccins contre la fièvre jaune sont limitées, d’après l’OMS.
Ilssont au nombre de 6, l’Éthiopie, la Guinée, le Nigeria, l’Ouganda, le Sénégal et le Soudan du Sud. Éthiopie. En 2020 le pays qui n’a pas intégré la vaccination contre la FJ dans son calendrier vaccinal montre une couverture vaccinale contre cette maladie de 40 % (2020). Le pays a signalé 85 cas suspects de FJ (deux cas
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Les autorités sanitaires sénégalaises ont notifié à l’Organisation mondiale de la santé OMS sept cas de fièvre jaune dont deux décès depuis octobre dernier. D’octobre à décembre 2020, un total de sept cas confirmés de fièvre jaune ont été signalés dans quatre districts sanitaires de trois régions du Sénégal », a annoncé, mercredi, l’agence onusienne. Selon le bulletin épidémiologique, l’épidémie consiste en un groupe de quatre cas confirmés provenant de trois zones de santé du district sanitaire de Kidira, dans la région de Tambacounda. Dans la région de Kédougou, un cas a été signalé dans Kédougou ville et un autre dans le village de Saraya. Un autre cas a été signalé dans le district sanitaire de Thilogne, dans la région de Matam. Les deux décès parmi les quatre cas signalés dans le district sanitaire de Kidira sont survenus dans deux hôpitaux. L’un est survenu à l’hôpital régional de Matam et l’autre à l’hôpital régional de Tambacounda. Avec ces cas très bas notifiés par Dakar, l’outil stratégique d’évaluation des risques STAR, a classé la fièvre jaune au Sénégal dans la catégorie faible ». Selon l’OMS, il s’agit d’un niveau quand de petits foyers peuvent être observés mais probablement pas un foyer important ». Vaccination de la population locale et surveillance renforcée Le détail du rapport montre que les premiers cas ont été notifiés dès la mi-octobre. Dans la région de Tambacounda, un échantillon a été prélevé le 18 octobre dernier sur une femme de 40 ans vivant dans le district de Kidira au cours d’une enquête pour une infection par le virus du Nil occidental. Le 29 octobre, l’Institut Pasteur de Dakar a confirmé que le cas était bien la fièvre jaune. Le premier décès a été recensé deux jours plus tard, avec la mort d’un garçon de 8 ans dont la maladie avait débuté dans le district sanitaire de Kidira. Dans les régions de Kédougou et de Matam, trois cas confirmés ont été signalés en décembre 2020, dont les échantillons ont été recueillis au cours de diverses enquêtes. Dès que ces cas suspects ont été confirmés, le Ministère de la santé a déclenché une réponse rapide ». Les activités de réponse comprennent la vaccination de la population locale, une surveillance renforcée ou la lutte contre les vecteurs. L’autre volet de la riposte a porté sur la communication des risques et l’engagement communautaire. Dakar peut aussi demander une aide supplémentaire éventuelle pour les vaccins et les coûts opérationnels », a précisé l’OMS. La partie orientale du Sénégal considérée comme étant à haut risque Plus largement, la détection de cas de fièvre jaune dans les régions de Tambacounda et de Kédougou démontre la possibilité d’une propagation sylvatique de la fièvre jaune à des personnes non vaccinées dans une zone rurale ». Selon l’Agence sanitaire mondiale de l’ONU, ces cas soulignent également l’importance de maintenir une forte immunité de la population dans tous les pays situés dans des zones à haut risque de cette maladie hémorragique virale. Bien que le Sénégal ait mené une vaccination de masse en 2007, la partie orientale du pays est considérée comme étant à haut risque de transmission endémique de la fièvre jaune ». Dans ces conditions, les personnes non vaccinées restent vulnérables à l’infection par la fièvre jaune, en raison notamment de la persistance de la maladie chez les primates cycle sylvatique, en particulier dans les zones rurales. De plus, l’OMS redoute que la pandémie de Covid-19 perturbe les activités de vaccination de routine en raison de la charge qui pèse sur les systèmes de santé. L’autre menace, c’est la baisse du recours à la vaccination, en raison de l’éloignement physique ou de la réticence des communautés ». Une cinquantaine de cas notifiés la semaine dernière au nord-ouest de la Guinée Pour l’agence onusienne, la perturbation des services de vaccination, même pour de brèves périodes, augmentera naturellement le nombre de personnes sensibles. Ce qui accroîtra la probabilité d’apparition de maladies évitables par la vaccination ». A noter qu’à la date du mercredi 30 décembre, le Sénégal a comptabilisé quelque cas confirmés de Covid-19 dont 390 décès. L’OMS a d’ailleurs publié des directives sur les activités de vaccination pendant la pandémie du coronavirus. Lorsque les conditions le permettront, la Stratégie mondiale pour l’élimination des épidémies de fièvre jaune EYE soutiendra la reprise rapide des activités de prévention de la fièvre jaune », a ajouté l’OMS. En attendant, l’agence onusienne recommande la vaccination contre la fièvre jaune pour tous les voyageurs internationaux âgés de 9 mois ou plus qui se rendent au Sénégal. De plus, Dakar exige un certificat de vaccination contre la fièvre jaune pour les voyageurs en provenance de pays à risque de transmission de la fièvre jaune et pour les voyageurs ayant transité plus de 12 heures dans un aéroport d’un pays à risque de transmission de la fièvre jaune. Ces cas de fièvre jaune interviennent quelques jours après la notification d’une épidémie de fièvre jaune, qui a touché dès la fin du mois d’octobre le nord-ouest de la Guinée. Dans ce pays voisin de Dakar, une cinquantaine de cas ont été détectés dont 14 décès suspects non confirmés. La prévention de la fièvre jaune est possible grâce à un vaccin extrêmement efficace, sûr et peu coûteux. Selon l’OMS, une seule dose de celui-ci confère une immunité durable et protège à vie contre la maladie, sans qu’il y ait besoin d’une dose de rappel. Le vaccin confère une immunité efficace dans les 30 jours pour 99% des sujets vaccinés. Parmi les symptômes de cette maladie hémorragique virale aiguë transmise par des moustiques infectés, figurent la fièvre, les céphalées, des nausées, des vomissements ou de la fatigue. Et dans une petite proportion des cas, les patients contractant la maladie développent des symptômes sévères et environ la moitié d’entre eux meurent dans les sept à 10 jours.
En dehors de la Guyane française, les territoires pays dans lesquels la vaccination contre la fièvre jaune est obligatoire sont tous situés en Afrique. Il s’agit du Bénin, du Burkina Faso, du Cameroun, de la République de Centrafrique, de la République Démocratique du Congo, de la Côte d'Ivoire, du Gabon, du Ghana, du Libéria, du Mali, du Niger, du Rwanda, de Sao Tome & Principe et du d’autres pays, un certificat de vaccination contre la fièvre jaune est exigé de tous voyageurs âgés de plus d’1 an en provenance de pays où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune. Il s’agit de l’Afrique du sud, de l’Algérie, du Cap Vert, de Djibouti, d’Erythrée, d’Egypte, du Lesotho, de la Libye, du Malawi, de Madagascar, de Mauritanie, du Mozambique, de la Namibie, du Swaziland, de la Zambie.
Le Sénégal va soutenir l’Institut Pasteur de Dakar dans son projet de production de vaccins contre la Covid-19, d’ici au début de l’année 2022, a annoncé lundi le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr. Au plus haut sommeil ’’Dans le contexte de pénurie mondiale de vaccins Covid-19, l’Etat du Sénégal va soutenir, avec la France, Team Europe et la Banque européenne d’investissement BEI et d’autres partenaires, la réalisation du projet de production de vaccins contre la Covid-19 de l’Institut Pasteur de Dakar, d’ici le début de l’année 2022’’, a assuré Diouf Sarr, qui s’exprimait lors de la réunion organisée en ligne par le Centre africain de contrôle et de prévention des maladies CDC Africa sur l’expansion de la production de vaccins en Afrique. Les assurances Il a rappelé que l’Institut Pasteur de Dakar, un producteur préqualifié par l’Organisation Mondiale de la Santé depuis 1966 du vaccin contre la fièvre jaune, a une expérience à capitaliser pour bâtir une production régionale suivant une stratégie nécessitant une coordination par l’Union Africaine à travers l’Africa CDC, organisateur de cette réunion. La collaboration ’’Nous allons poursuivre les discussions prometteuses engagées avec l’Afrique du Sud et sommes ouverts à d’autres collaborations, dans un esprit de partenariat respectueux et d’échanges entre pairs. Car nous sommes tous humbles devant cette pandémie’’, a ajouté le ministre de la Santé du Sénégal, dans l’Aps. Covid Diouf Pasteur Sarr Sénégal Vaccin
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